mardi 28 août 2012

Chap. 13 : Hymne à cette putain d’isalope sublime d’Héloïse.



Héloïse ! Sublime Héloïse ! Putain d’isalope sublime ! Putain de cul ! Putain de chatte ! Putain de nichons ! Putain de tout ! De Tout ! Même mon nez prenait un plaisir dingue à se frotter contre sa chatte ! Y avait pas d’abats, rien à jeter, tout était bon ! Et son nombril ! Chaque putain de centimètre carré de sa peau ! Même quand sa bouche avalait ma queue, elle avait la température idéale ! Et une langue, putain, sa langue ! Elle savait y faire ! Ses oreilles me plaisaient aussi, j’aurais aimé m’enfoncer dedans, j’aurais aimé qu’elle puisse jouir aussi par là ! Par ses trous de nez aussi ! Tout était bon chez cette putain d’isalope d’Héloïse ! Tout !
 

On avait baisé une bonne partie de la nuit. Jamais j’avais tringlé une isalope avec autant de patience ! Dès qu’elle sentait que j’allais décharger, elle ralentissait le mouvement, elle présentait son cul pour je le lui lèche, presque toute sa peau était imprégnée de ma salive. Je lui avais léché les jambes, les bras, le ventre, le dos, le cou, la nuque, le cul, la chatte. Et après, on reprenait. Sans que j’aie besoin de la diriger,  ma queue trouvait toute seule l’entrée de sa chatte, elle y entrait par petits à-coups et s’enfonçait, s’enfonçait, s’enfonçait ! Un con parfaitement proportionné à ma queue, pas trop large, pas trop étroit, graissé juste ce qu’il fallait, onctueux. Et puis, c’était une causeuse, cette putain d’isalope d’Héloïse : Tu vas me faire jouir, continue comme ça, mets ton doigt dans mon petit trou du cul, branle-moi le con ! Allez, laisse-moi te sucer les couilles ! Et elle me suçait les couilles, enlevait la capote et me suçait la queue, lentement, sans trop de pression, comme si elle voulait maintenir ma trique à son maximum, avec sa langue sur mon gland, autour, la pointe, et le long de ma queue, lentement. Et à chaque fois que j’y retournais, fallait sortir une nouvelle capote, je crois bien qu’à la fin, y m’en restait plus une seule !
 
Fallait en arriver à l’apothéose ! J’ai fait comme avec Hildegarde, je lui ai bouffé la chatte avec une fougue ! Avec Héloïse, c’était pas des Umm ! et des Oh ! ou des Ah !, mais des Comme tu me la bouffes, ma chatte ! et des Allez suce, t’arrête pas, je sens que je vais jouir ! et puis aussi Oui, t’arrête pas, mets-la ta langue dans mon con, aspire mon clito, salaud, comme tu le fais bien ! Bon, c’était plutôt flatteur, alors je continuais, j’y mettais vraiment du mien et avec les doigts aussi ! Quand elle a joui, elle a pas resserré les jambes en poussant un petit Ah !, non !, elle s’est mise à gueuler Ah, comme tu la bouffes ma chatte, je vais décharger, tiens, prends ça, Ah, salaud, tiens, allez, tiens ! Et j’ai senti un liquide chaud dans ma bouche, elle avait tous les muscles tendus, la chatte et le cul en avant, j’étais inondé ! Elle a pas attendu, elle s’est relevée et elle m’a sucé tout en me branlant et a gardé ma queue dans sa bouche jusqu’au moment où elle a été complètement ramollie. Elle est pas allée au chiotte, elle m’a embrassé à pleine bouche, s’est collée contre moi et m’a dit : Tu m’as fais jouir à fond ! Jamais on m’avait sucé ni léché comme ça et en plus on a l’impression que t’aimes ça ! Bien sûr que j’aimais ça, c’était seulement un peu lent, mais la Gaule ne s’est pas faite en un jour ! que je me disais.
 
On s’était endormis l’un contre l’autre, enlacés, ça me faisait généralement chier, je crois l’avoir déjà dit, j’étais dégoulinant, mais même si ça me faisait chier, j’aimais aussi sentir son corps, détendu, putain, ce corps !, tout contre moi, comme qui dirait blotti, je me sentais bien, accompagné, dégoulinant de sueur mais au poil, là haut, avec ces putain d’étoiles à la con !
 
Moi, je crois pas être un baiseur hors pair, j’ai une queue de taille normale, plutôt petite même, mais, tringler, moi, ça me rend dingue et ensuite, quand je baise, je pense plus au plaisir de mes isalopes qu’au mien et je crois que c’est ça qui leur plaît. Leur chatte, je l’utilise pas pour me branler, pas comme ces putain de connards qui passent leur vie à tirer un coup ! Dans un sens, heureusement qu’ils existent, ces ignares de la baise, ça me permet de faire la différence ! Alors, après ça, quand elles me sucent, elles y mettent aussi du leur, on se compénètre, en somme.
 
Héloïse m’avait téléphoné la veille au soir, assez tard. J’étais en train d’écouter le dernier acte du Prince Igor de Borodin. Dans la journée, j’avais mis au point une série d’entrevues pour mon putain d’article. Hrosvitha me faisait pas chier depuis deux jours et Belami était parti en voyage en Belgique, pour implanter le modèle de notre revue, qu’il m’avait dit. Tout baignait. J’avais bien un peu gueulé contre ce putain de téléphone, mais dès que j’ai entendu la voix d’Héloïse, de cette putain d’isalope d’Héloïse qui me trottait dans la tête presque à longueur de temps !, je me suis immédiatement calmé.
 
- Charles ?
- Oui.
- C’est Héloïse.
- J’avais reconnu ta voix.
- J’ai très très envie de venir te voir !
- Quand tu veux.
- Maintenant ?
- D’ac’.
 
Vingt minutes après, elle apparaissait ! Ouais, c’est ça, elle était pas venue, elle était apparue ! Les miracles, moi, je m’en fais des bigoudis, des rosettes pour poils de cul, mais là, là, devant moi, là, Héloïse, et merde !, c’était autre chose, mouais, une apparition presque miraculeuse, Lève-toi et marche !, non, les lourdeux qu’ils aillent se rhabiller avec leurs miracles à la con !, là, c’était comme Bande et baise-moi !, un truc sans détour, direct, en plein dans les mirettes ! Héloïse qui me faisait péter la cervelle ! Héloïse ! Héloïse  la sublime ! Héloïse ! Putain d’isalope sublime ! Une putain d’isalope d’apparition !
 
Je l’ai foutue à poil, elle a rien dit d’autre que Prends-moi !, et on est allé directement au plumard. Putain ! Ça c’était une isalope ! Je me disais que j’avais trouvé chatte à ma queue. Peut-être bien que j’aurais même pas besoin d’aller lui faire voir des fresques médiévales ! Alors, sa culture TéléPlus, je m’en foutais, rien à cirer, elle était pas venue pour que je lui balance tout un baratin sur la métaphysique allemande, elle était venue pour se faire baiser, pour qu’on la baise, pour que je la baise et voilà que je me rendais compte que c’était pas ça qui c’était passé, non, je l’avais pas plus baisée qu’elle m’avait sucé, mais on s’était baisés, et là, c’est quand même autre chose ! Ouais, autre chose !
 
Héloïse s’est barrée direction Fragrance shop, au seuil de la porte, elle a mis une main sur ma queue, a approché ses lèvres des miennes et m’a dit : À bientôt !, et elle est partie. Putain d’isalope, même ça, elle le faisait bien !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire